Et maintenant j’ai plus le temps
D’écrire de dire
Ni même d’en rire
De ce stupide “attends regarde pas encore retiens toi n'y va pas tu devrais rester là
Compter les jours regarder l’amour
De loin sans y toucher
À peine susurrer effleurer mais surtout pas penser
Que demain tout à l’heure tu vas saisir ta chance la beauté et l’éclat du jour qui bientôt s’enfuit
Alors reste en bas-fond triste sort soupente de l’oubli du non-dit des sous-titres du sublime enterré bien profond sans en rajouter“
Elles ont filé les minutes elles ont passé les heures
L’horloge sonne le jour se lève un enfant parle une porte claque
Il n’est plus temps.
2 commentaires:
Voilà ce qui vient juste de traverser la nuit de mon âme avant de lire ton poème… #soeurs reliées…
Deux enfants perdus à la frontière de leur rêve… Circulez!
Je t’embrasse
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